Philippe Ep 11 : Dans Le Dortoir
PHILIPPE
EP 11 : DANS LE DORTOIR
On arrivait juste à temps, je garais la moto à sa place. Quand Théo descendait de la moto je le voyais ajuster son pantalon au niveau de ses fesses, il ne semblait pas à son aise.
Moi : C'était cool, on s'est bien amusé ? Non ?
Théo : Ouai ! Toi tu t'es bien amusé !
Moi : Tu vas pas te plaindre
Théo : Ça fait mal ton truc !
Moi : On recommence quant tu veux !
Théo : Certainement pas !
Pauv con
Bon d'accord c'est son laïus en ce moment mais ça va lui passer ! C'est sûr !
Théo : T'es vraiment un enculé toi !
Moi : Je ne voudrais pas dire mais l'enculé, dans notre cas
C'est pas vraiment moi
Théo : Ta gueule !
Bon il ne faut pas insister, il est vraiment de mauvaise humeur !
On se changeait rapidement et on passait à table. La semaine qui suivait j'arrivais à ne pas me faire envoyer chez le directeur
Presque un mois, vous vous rendez compte !
L'année allait se terminer ma moyenne de mes notes ne montait pas mais la moyenne de mes engueulades elle, était en chute libre ! Je me disais que si je parvenais à éviter de me faire envoyer chez le directeur jusqu'à la fin de l'année, je pourrais toujours tenter de négocier avec mon père les prochaines vacance. Magic Island, le palace de Magic Island est légendaire. Une île au milieu d'un océan, pas de port enfin un tout petit, pas d'aéroport enfin un tout petit
Mais une gare !
Une gare et un hôtel de rêve. C'est un projet de fou. La PK Compagnie a quelquefois fait des projet de fou, son université par exemple
La compagnie à acheté une ville et l'a refaçonnée entièrement en y plaçant au milieu son université. Et ce vieux projet encore plus fou une gare au milieu de l'océan
Il paraît qu'il y a une voix ferrée posée sur l'eau. Une route, enfin un pont rail de plus de deux mille kilomètres, au dessus un train rapide.
Ça vous épate si je connais tout ça hein
C'est mon grand père qui m'a raconté tout ça, il l'a pris plusieurs fois ce train quand il était plus jeune. C'est le seul moyen d'aller sur cette île, enfin le meilleur moyen, le plus rapide et le plus confortable à la fois
La seule chose que je ne comprends pas c'est pourquoi ils ont fait un truc aussi fou pour rien ou presque l'île c'est le terminus. Ce qui aurait été bien c'était de terminer la voix ferrée pour qu'elle traverse entièrement l'océan. Le jour ou je serai directeur de la PK ( si je le suis un jour ) je terminerai ce projet !
Bien sûr ce sera après avoir changé le règlement interne qui oblige les dirigeants à porter ces dispositifs
Car je vous l'ai dit ça
Ja-Mé
Et c'est pas négociable.
Le dimanche l'interna n'est pas plein, un bon nombre d'élèves passe le week-end en famille, le réfectoire est vide aux deux tiers. Je passais en revue les divers élèves présents et prenais conscience
Je les ai tous vu sous la douche plus ou moins
Et je prenais donc conscience que je devait très probablement être le seul à ne pas porter de dispositif de chasteté.
Enfin le seul, peut être pas ! Mais l'un des rares, ça oui !
Finalement, je suis un petit veinard ! En plus le samedi soir et le dimanche soir il n'y a pas l'autre andouille de Luidji à exhiber sa bite dans la chambre et c'est vrai que le week-end je dors mieux.
Plus que quelques semaines avant les grandes vacances, je planifiais donc mes week-end
Plage ! Plage ! Plage ! Et plage !
Oui je sais c'est un emploi du temps simplifié mais c'est facile à organiser, et pas trop désagréable à suivre. Le temps devrait rester au beau fixe et avec un peu de chance je trouverais bien un camarade pour maccompagner.
A la fin du repas, Peter ma tapait doucement sur l'épaule et me glissait à l'oreille
Peter : Tu passes dans ma chambre tout à l'heure
Il me faisait un clin dil. Peter c'est un gars sympa, il n'est pas dans ma classe, et on n'a aucun cours ensemble mais je l'ai tout de même vu sous la douche, il ne porte pas de dispositif de chasteté et j'ai l'impression qu'il n'est pas trop bien monté
Enfin normal quoi ! Moi je suis dans le normal mais dans le normal haut de la norme. Pas encore dans la catégorie géante même si il y en a à qui ça peut faire peur, ou à qui ça peut faire mal
Vous pouvez toujours demander à Théo si vous ne me croyez pas. Lui ça le fait couiner !
Je ne savais pas ce qu'il me voulait Peter mais un peut plus tard après le repas je frappais à sa porte. En m'approchant de la porte j'avais l'impression d'entendre du bruit mais au moment ou je frappais il n'y avait plus aucun bruit. Je frappais de nouveau.
Peter : C'est qui ?
Moi : C'est moi Philippe !
Peter : Entre Philippe et referme bien derrière toi.
Je m'étonnais, j'entrais et c'était une grosse surprise. Il y avait trois mec avec Peter. Tout le monde était à poil et si Peter, en effet ne portait pas de dispositif, les trois autres eux en portaient un.
Peter était assis sur son lit, il avait les jambes bien écartées et un mec, Justin qui le suçait. Peter tenait la tête de Justin fermement et son nez était écrasé contre le ventre de Peter. Les deux autres Lionel et Victor me regardaient, ils se tripotaient chacun leur dispositif, se caressaient les couilles et avaient un air triste. Ils devaient être en manque !
Leurs regards se posaient directement sur mon entre jambe.
Peter : Si tu veux nous rejoindre, on sait que tu n'en portes pas et que tu es bien foutu
Si ça te choque, tu m'excuses, tu ressors et tu oublies ce que tu viens de voir.
En réponse j'affichais un grand sourire quand ma chemise atterrissait dans le coin de la chambre, elle était suivie par mon pantalon et tout ce que j'avais sur moi. Les deux garçons qui avaient l'air un peu tristes souriaient également. Peter lâchait la tête de Justin qui relevait la tête et reprenait son souffle. Peter était bien monté tout de même, je n'était pas impressionné. '' Un taille trois ''
Comme aurait dit mon tonton Bob, '' Une p'tit bite quoi, moi je portais du cinq
''
Il est marrant mon tonton Bob. Enfin ils sont tous marrants dans ma famille sauf mon père bien sûr ! Surtout que lui il ne porte pas ! Enfin tonton Bob je veux dire, c'est lui qui ne porte pas.
Les deux autres garçons me regardaient avec envie, il ne me lâchaient plus du regard. Ils s'approchaient de moi et me caressaient l'intérieur de mes cuisses. Peter reprenait fermement la tête de Justin et l'appuyait sur son ventre, de nouveau sa queue rentrait jusque au fond de la gorge de Justin, il lui balançait en même temps quelques beaux coups de rein. Justin avalait avec un air crispé, il fermait ses yeux bien fort ainsi que ses poings.
Mais c'est que c'est pas un tendre le petit Peter, j'aurais jamais cru ça moi. Les deux autres me couvraient de baisers sur les cuisses, L'un prenait ma queue dans sa bouche, un peu timide au début, l'autre suivait et finalement je restais là un bon moment, debout, les jambes légèrement écartées, mes mains caressaient chacune une tête et chacun leur tour ils me prenaient la queue dans la bouche et me suçait
Par trop mal en plus.
Je débute dans la débauche sexuelle moi et j'ai comme l'impression que je ne suis pas le seul. Si j'avais su je crois que je serais devenu copain avec Peter bien plus tôt moi.
Peter, il se défoulait sur la bouche à Justin, il le laissait relever la tête, pas complètement mais suffisamment pour qu'il respire, puis appuyait fermement sur sa tête, sans aucune tendresse en lui balançant un violent cour de bassin, sa queue entrait bien à fond, Justin faisait des bruits rigolos, il bavait aussi. Je ne sais pas si à ce moment il aimait, mais en tous cas il se laissait faire. Quelquefois le plaisir vient aussi de celui qu'on offre à l'autre et pas seulement à celui qu'on éprouve soi-même.
Moi ce soir là j'avais envie de prendre du plaisir. Bein quoi ? Ça fait un moment déjà. J'ai pas éjaculé depuis presque
trois heures ! Je caressais doucement la tête du mec qui me caressait et me donnait des baisers, et de l'autre main j'appuyais fermement moi aussi derrière la tête de celui qui me suçait. Il n'y a pas de raison, Peter il le fait bien lui ! Ils échangeaient les rôles et je continuais.
Peter : On jouait au Bout-en-train. Il y a un mâle actif, un mec qui se fait baiser proprement, et même deux. Mais le troisième restera frustré. Lui personne ne le touchera, il va sucer, caresser
Il va bien s'exciter mais pour lui c'est ceinture !
Moi : Un seul ?
Peter : Deux si tu veux, moi je vais baiser longuement Justin. Toi tu fais comme tu veux, tu baises les deux, un seul. C'est comme tu veux, tu n'encules aucun des deux si tu veux. Ils seront tous les deux frustrés, c'est tout !
Moi : C'est moi qui commande !
Peter : Exactement, si tu n'était pas venu, il y aurait eu deux frustrés. Mais comme tu es là, tu fais ce que tu veux avec les deux autres.
Je regardais les deux mecs à mes pieds, Victor était particulièrement mignon, il avait un joli visage, doux et masculin en même temps, Lionel avait un corps particulièrement bien bâti. Il avait une carrure bien virile mais je préférais le visage de Victor. Finalement je décidais de ne pas décider, enfin pas tout de suite. Je les laissais faire.
Lionel suçait bien, il s'appliquait, ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Il était un peu plus vieux que moi et portait ce dispositif depuis ses seize ans. Ça faisait donc depuis plus d'un an. A voir comment il avait soif de bite, il devait probablement le porter en permanence depuis plus d'un an donc.
Victor était un peu moins adroit, je le trouvais trop mignon. Physiquement il n'était pas aussi costaud que son camarade, mais je ne le trouvais que plus mignon. Il était quand même bien foutu, et terriblement mignon !
J'hésitais, j'encule lequel ce soir ? Victor, il est trop mignon Victor, il a l'air plus jeune, physiquement je veux dire. Victor à presque dix neuf ans, il en paraît seize et je ne sais pas depuis quand il porte son truc, Lionel à dix sept ans et en paraît dix neuf
Je crois que je vais choisir le plus jeune. Victor ! C'est pas lui le plus jeune ? C'est vrai mais je m'en fou, c'est lui qui a l'air plus jeune.
Doucement je caressais la joue de Lionel et doucement lui demandais d'aller sasseoir un peu plus loin. C'est jouissif comme situation, je pouvais décider qui serait frustré ce soir, il ne disait rien, il sexécutait c'est tout. Il donnait le change et gardait le sourire, un sourire un peu crispé. On pouvait voir qu'il était un peu vexé. Victor lui me suçait la queue plus activement, sans doute avait-il peur que je ne change d'avis.
Je lui tenais la tête à deux mains et faisait comme Peter, je le tirais vers moi en lui balançant des coups de rein, des coups de reins de plus en plus violents. Il encaissait bien la gars et je ne regrettais pas mon choix.
Je relevais les yeux vers Peter, la situation avait changé, Justin s'était relevé il avait enjambé Peter et se préparait à s'asseoir sur la queue de son copain. Je regardais ça avec fascination, je sentais ma queue se contracter, se durcir encore un peu plus, comme si c'était possible ! Et là ce n'étaient pas que les caresses de la langue de Victor qui me faisaient effet.
J'écartais doucement le visage de Victor et lui glissait à l'oreille : '' On va faire comme eux ! ''. Je m'allongeais alors sur le dos, le torse relevé, appuyé sur mes coudes.
Moi : Vas y mon gars, c'est quand tu veux !
Je le voyais, il était impressionné et ne parvenait pas à dissimuler son émotion mais il prenait position, un pied de chaque côté de mon bassin, il s'accroupissait et je sentais son petit tour de balle se positionner juste au bout de ma bite. Je sentais une pression, il appuyait son cul, il commençait à pousser des gémissement au moment ou la pression devenait plus forte.
Je sentais son anus se détendre, se dilater et envelopper mon gland. Il gémissait plus fort. Je sentais ensuite cet anneau se déplacer le long de ma queue, je sentais une pression forte qui enveloppais toute ma queue, et avançait lentement jusqu'à sa base. Victor gémissait vraiment là et il poussait un cri au moment ou ses fesses touchaient mon ventre.
Je ne bougeais pas, je le laissais faire, j'étais fasciné, je lui souriais. Il gardait la position quelques instants. Puis il poussait un gémissement et commençait à se relever.
Victor : Elle est vraiment grosse, je ne
Moi : Ne bouge pas, reste comme ça !
Il me regardait sans rien répondre, je le sentais retenir une plainte, un gémissement lui échappait encore. Un gémissement qu'il ne pouvait pas retenir et qui témoignait d'une certaine douleur. Son cul était étroit et je le sentais bien se refermer autour de ma queue. C'était bon !
Victor, toujours en essayant de retenir ses gémissements s'enfonçait de nouveau sur ma queue. Ses fesses s'écrasaient sur mon bassin, je lui caressais alors les cuisses, comme pour l'encourager.
Il respirait fort. Peter et Justin en étaient à peu prêt au même niveau que nous. Justin était complètement assis sur la bite à Peter, empalé de tout son poids, il était penché en avant et ils se caressaient tous les deux avec passion.
Lionel ne pouvait plus dissimuler sa frustration, ses yeux révélaient son désir, il nous regardait les uns après les autres, la bouche légèrement ouverte, sa langues passait sur ses lèvres.
Victor, respirait de plus en plus fort, il gémissait et faisait le mouvement de se relever. Je lui balançais alors un violent coup de rein. Il hurlait et retombait avec moi, complètement empalé sur ma queue en gémissant. De ses mains il cherchait un appui. Je relevais alors mon torse et tirait ses pieds sur le sol, derrière moi.
Chaque respiration était une plainte, un cri. Il s'accrochait à moi. Je me balançais alors sur mes fesses d'avant en arrière, il hurlait de nouveau. Je regardais les autres, il avaient tous le regard tourné vers moi !
Victor me tenait bien serré contre lui, il tremblait. Justin se relevait et se mettait à genoux, Peter se plaçait juste derrière lui, lui écartait les jambes et le repoussait en avant, sans prévenir il enfonçait sa queue dans le cul de Justin qui gueulait à son tour. Je décidais d'en faire de même.
Victor semblait dire non du regard mais s'exécutait. Il semblait supplier par des gémissements de plainte. C'est une cri de détresse, de douleur de plainte qu'il poussait au moment ou je m'enfonçais dans son cul. Il avait été échauffé mais j'y allais violemment, en un seul mouvement rapide je lui défonçais le cul et le bas de mon ventre frappait bruyamment ses fesses, il criais, j'avais l'impression qu'il allait pleurer.
Je ne me m'inquiétait pas de ce qu'il pouvait ressentir. Je ne m'occupais plus des autres. Je me lâchais sur le cul de Victor, je ne m'inquiétais plus que de mon plaisir ! Je lui défonçais le cul sans me retenir, je sentais ses muscles internes se contracter, il était étroit le petit gars, il le serait moins quand j'en aurais fini avec lui
Peter, gémissait à son tour, il jouissait dans le cul de Justin. Justin lui avait le front posé sur le sol, il se tenait la tête avec ses deux mains, il encaissait bien.
Victor encaissait bien aussi mais il faisait plus de bruit. Je le sentais trembler entre mes bras, je frémissais aussi au moment ou je jouissais dans son cul. Je me retirais, il me répondait par un gémissement, un peu comme un sanglot, puis il se laissait tomber sur le sol. Je remarquais alors qu'il avait éjaculé, du sperme coulait de son dispositif PK. Il respirait fort.
Avec Peter on se tapait dans la main en se félicitant. Lionel ne bougeait plus, il ne disait rien.
Peter : Ils sont à notre disposition toute la soirée, si tu veux recommencer
Victor : Non, Non, c'est bon
( dans un murmure qui ressemblait à une plainte )
Peter : Tu ne t'occupe pas de ce qu'il dit !
Moi : Cool ! J'adore, vous savez vous amuser les gars !
Peter : En général, si il y en a un qui demande grâce, je m'acharne sur lui. Tu es sûr que tu ne veux pas lui défoncer le cul encore une fois ?
Moi : Il a sa dose, j'ai l'impression !
Peter : Moi je l'enculerai peut être un peu plus tard !
Un éclair de panique semblait traverser les yeux de Victor.
Peter : Une petite bière ?
Moi : Mais c'est interdit !
Peter : Tu crois peut être que tu es le seul à t'amuser avec le règlement, moi je ne me fais pas repérer. C'est pour ça que c'est toi qui a tes habitudes au bureau du directeur !
Moi : Allez une petite bière
Peter : Alors comme ça tu es le fils du Big Boss de la PK, tu as six sept ans et tu ne portes pas de dispositif de chasteté ! C'est quoi ton secret ?
On discutait une bonne partie de la soirée, rapidement on passait à la douche, on laissait nos trois camarades. Finalement Victor était libéré, il avait déjà assez mal au cul. Il avait l'air soulagé. Peter avait encore de la bière, il m'invitait et on en buvait plusieurs chacun. Je lui racontais, mon grand père, mon père
Je lui racontait même ma soirée d'anniversaire dans la maison close
Et comment ça c'était terminé !
On savait qu'un jour ou l'autre on devrait porter un dispositif de chasteté mais en attendant tant qu'on avait la queue libre il fallait en profiter ! C'était la philosophie de Peter. Il savait que dans un peu plus d'un an il n'aurait pas le choix et qu'il devrait lui aussi y venir. Pas pour toujours, ses études terminées il le retirerait pour toujours. En tous cas c'était son projet. Moi je refusais d'accepter cette idée, je me disais que je trouverais bien une solution. Je comptais pour ça sur le soutient de mon grand père.
Mais j'étais d'accord sur le fait qu'il fallait en profiter !
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